Compagnie Théatre 7
PAROLES

de Jacques PREVERT
 

La presse


Plus qu’un récital poétique, une véritable restitution du souffle du poète. Une fidélité inhabituelle et une complicité troublante entre un auteur et son interprète. Il y a de la poésie à lire, celle-ci est à voir et à entendre.
France Culture

Il était temps de remettre en mémoire l’autre Prévert, celui des pamphlets, de la révolte et des coups de gueule contre la famille, le sabre et le goupillon . Michel Boy s’y emploie malicieusement .
Le Nouvel Observateur

Michel Boy ne se contente pas de “dire” les poèmes, il les joue avec tant de cœur et de finesse qu’il en fait un spectacle passionnant .
France Inter

Michel Boy ressuscite le Prévert “intact de Dieu“, l’acteur qui est à plus de 1500 représentations nous a régalés de textes fameux interprétés dans leur intégralité avec humour et énergie.
J.R.B. La Provence

Michel Boy dit Jacques Prévert comme personne jusqu’ici ne l’avait osé.
Il ne donne pas un récital, il ne fait pas un numéro, il ne sert pas des textes pour se mettre en vedette, mais il les sert, avec une fidélité exemplaire et une solidarité telle qu’il finit par sembler les recréer dans une sorte d’authenticité originelle.
Arnaud Laster - Maître de Conférences à la Sorbonne Nouvelle ( Université Paris III ) ( spécialiste de Jacques PREVERT )

“ ... On aime ou on n’aime pas l’univers de Prévert ; ceux qui aiment y seront à la fête. Il y a un comédien brillant, agaçant, généreux, magnifiquement professionnel qui dit du Prévert comme monsieur Jourdain de la prose. Son nom : Michel Boy ... “
Le Figaro-Magazine Jean-Luc Jeener

“ ... C’est du grand art que l’on nous offre là. De quoi ravir tous les amoureux du poète. Mais aussi, et peut-être surtout, tous les autres... Jubilatoire. “
Le Dauphiné 18 Juillet 2002 Karine Prost

“... Ici on entre au plus profond de l’œuvre, on la visite dans son intimité, on la déguste, on la redécouvre... Un vrai comédien... (qui) s’offre le luxe gourmand de feindre de rencontrer le texte en même temps que le public ...”
La Marseillaise 27 Juillet 2002 C.H


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